Mes alertes Montréal, le 2 juin 2009 – La Société de transport de Montréal (STM) rend public son premier pour l’année 2008. À compter d’aujourd’hui, ce rapport, ainsi que le Rapport d’activités 2008, sont disponibles sur le site Web www.stm.info.
Le Rapport de développement durable permet de mesurer les efforts consentis de la STM pour intégrer les principes du développement durable à tous les niveaux de l’entreprise. Il présente aussi le plan d’action qui se décline en trois axes, soit la mobilité durable, la gestion durable et la promotion du développement durable. Chaque axe comporte une série d’orientations et de cibles. Le document permet ainsi de mesurer la contribution environnementale, sociale et économique de la Société.
« Nous sommes particulièrement satisfaits des résultats obtenus en ce qui a trait à l'augmentation de l'achalandage, qui a notamment eu pour effet d'éviter des émissions de gaz à effet de serre et d'améliorer la qualité du cadre de vie sur l'île de Montréal », a déclaré M. Michel Labrecque, président du conseil d’administration de la STM. « Avec une croissance exceptionnelle de l’achalandage de 4,1 % qui porte le nombre total de déplacements à 382,5 millions en 2008, il s’agit d’un record dans notre histoire moderne, puisque cela ne s’est pas vu depuis 1949! »
Le Rapport d’activités fait pour sa part état de la réalisation de nombreux projets d’envergure qui lui permettent d’améliorer le service à sa clientèle ainsi que de maintenir ou de remplacer ses équipements. Il présente également les indicateurs de performance, les statistiques ainsi que des annexes offrant une foule de renseignements complémentaires.
« Ce premier Rapport de développement durable confirme plus que jamais le souci de la STM de mieux répondre aux besoins et aux attentes de sa clientèle pour en faire l’une des meilleures sociétés de transport collectif en Amérique du Nord. En unissant les forces vives du milieu, nous réussirons à positionner Montréal parmi les villes les plus performantes du monde en matière de mobilité urbaine. Plus que jamais le transport collectif a besoin d'appuis et d'efforts collectifs ainsi que de sources de financement dédiées, indexées et récurrentes », a conclu M. Labrecque.
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